jeudi 22 mai 2014

Selfeet©™ From Instagram...

J'aime les chaussettes colorées et bariolées ainsi que les chaussures de toutes les formes, de toutes les couleurs, de tout les styles...

Aperçu Part I ...











Ma fille quant à elle est une shoes AND skirts addict... Mais ça c'est une autre histoire...


















mardi 13 mai 2014

Look of the Day...

Est-ce que mon affection pour les couvre-chefs commence à se faire savoir?



Ma pochette de biscuit géant à tremper dans un petit café à l'heure du goûter signée Martin Margiela pour H&M...


Ici un chapeau boule acheté chez MODE antiques textile, un magasins de vêtements et costumes d'époque situé à la place du Jeu de Balles...


J'ai litérallement craqué sur ces boucles d'oreilles de chez Claire's mais je trouve qu'elles ne me vont pas du tout alors je leur offre une autre chance de me satisfaire en faisant d'elles des broches..


Flower Power Trouser for Ever par Zara...


Mes shoes H&M aussi confortable que mes Converses avec une petite paire de chaussette rose 
à frous-frous Asos...


Trench Tex by Carrefour ;-) ...









dimanche 11 mai 2014

I Love You Stephen Jones...

Lors d'une de mes virées dans ma librairie discount préférée (bibliopolis pour ne pas la citer), je suis tombée sur un ouvrage concernant un chapelier modiste dont personne ne peut avoir au moins une fois vu le travail à moins d'avoir vécu dans une autre galaxie durant les 30 dernières années..

Stephen Jones & l'accent de la mode aux Editions de La Marinière, 2010
Préface, John Galliano (avant qu'il ne perde la tête)...


Voici brièvement qui est ce chapelier toqué...


En 1976 le mouvement punk secoue l'establishment british alors que le jeune Jones intégre la St Matin's School of Art.

À cette époque le styliste qui a le vent en poupe n'est pas Vivienne Weswood mais Antony Price.
Styliste aux conception sophistiquées s'inspirait de la haute couture du milieu du siècle...


Stephen lui découvrait seulement la vie londonienne... S'incrustant au cœur de la scène avant gardiste musico-punko-modo-haute couture...


Il intègre la célèbre maison Lachasse en tant que stagiaire... 
Là il découvre le monde merveilleux des couvre-chefs... 
Il y apprend les bases de la chapellerie ainsi toutes les possiblités d'extravagances de cet objet...


Diplômé, fauché, talentueux, novateur et surtout ayant de "bonnes fréquentations", à la suite de son apparition dans le clip "do you really Want to hurt me?" de Culture Club ( le mytique groupe de Boy George), il est contacté par JP Gaultier.



Tout le monde se souviens du premier défilé homme de Gaultier où les mannequins portaient des fez de velours que Jones en personne à récupérés sur le catwalk à la fin du show.

Stephen Jones est alors mis en orbite autour de la planète haute couture parisienne et internationale avec Alaïa et Mugler.

















D'après Jones: "ce couvre-chef assure votre supériorité car les gens ne peuvent pas s'approcher d'assez près pour vous embrasser. Les oursins y veillent."